1- La spontanéité

Avoir une idée, ou non, le travail débute par une couche de couleur, une forme, une ligne, qui par la suite évoluera.
Par exemple : une touche de rouge nous amène du vert, qui amène le jaune, qui amène le violet, qui amène le bleu, qui amène le orange, qui amène le marron, qui amène le gris coloré, qui amène le noir coloré, qui amène les couleurs tertiaires en nombre, pour enrichir la peinture.
Tout cela en faisant circuler les couleurs, en composant, créant des mouvements, gestes, ambiances, gamme...
La couleur devient plaisir et découverte.

2- Idée, concepts, démarche (problématique)

Réflexion plus complexe :
Quoi ?
Pourquoi ?
Pour qui ?
Avec quoi ?
Avec qui ?
Sur quoi ?
Quelle attente ?
Quel résultat ?
Reportez-vous aux propositions du début.

Le but ce n’est pas de bien faire mais de donner du sens, d’avoir une intention, de bien composer et d’avoir des références.
Bien faire cela ne veut rien dire.

Le dessin a une grande importance, si on se donne la peine d’observer et de prendre des repères.
Le travail du trait est important, ligne épaisse, fine, multipliée, croisée, répétée, dynamique, molle, tendue, ondulée, noire, grise, blanche, rouge...

Vous avez un savoir, des connaissances, une expérience propre à vous.

Mettez tout cela au profit de votre art.
Travaillez sur une idée personnelle. Travail personnel.

Pouvez-vous faire une analyse de la photo de Sophie Calle consultable en cliquant ici ? Et faire des propositions propres à vous.

3- Les sculpteurs

Prenez toutes sortes de papiers et de la colle (colle bois, vinyle blanche...), mouillez le papier avec la colle, et donnez les formes que vous voulez en modelant.

Regardez la photo de Sophie Calle consultable en cliquant ici et essayez d’interpréter de façon assez abstraite cette idée de Diane chasseresse.